Francesco Sollomino
|
Francesco Sollomino | ||||||||||
Informations
|
Identité[modifier | modifier le wikicode]
Francesco Sollomino est né fils unique et seul héritier du trône de Cianna. De ce fait, il a toujours été élevé au cœur du pouvoir et a reçu une éducation des plus strictes et des plus complètes, devenant même diplômé de l'académie des arts musicaux de Namaccia, université la plus réputée dans le pays, et par conséquent dans le monde.
Le Roi Francesco fut présenté à sa femme, la Reine Maria-Stelle, lors de la fête organisée pour leurs cinq ans de fiançailles, alors qu'ils étaient tous deux âgés de huit ans. Bien qu'il ait dans un premier temps largement protesté, y compris publiquement, contre ce mariage, affirmant que si celui-ci devait se faire, il préfèrerait tuer sa femme dès la sortie de l'église afin de pouvoir épouser une femme qu'il aimera, ou au moins qu'il sera capable de supporter ; il semblerait que les deux fiancés apprirent rapidement à se connaître et à s'apprécier. Leur union fut célébré le premier jour de l'année 2300, à la cathédrale de Namaccia.
Le père de Francesco, le Roi Giancarlo Sollomino abdiqua en sa faveur le jour de ses 19 ans, laissant le pouvoir Ciannais entre ses mains et celles de son épouse.
Physiquement, Francesco Sollomino est l'archétype du bel homme Ciannais : De grande taille, aux cheveux noir de jais maintenus tirés en arrière grâce à une cire parfumée, au visage fin orné d'une moustache savamment entretenue et aux yeux en amande couleur ambre. C'est le regard et le sourire du Roi que l'on remarque en premiers ; ce regard perçant, imperturbable et ce sourire calme et bienveillant ont déjà fait chavirer le coeur et l'esprit de nombreux courtisans. Certains disent que quand le Roi Francesco vous regarde, il lit dans votre esprit votre rêve le plus cher et sourit à sa vue en priant pour qu'il se réalise.
Personnalité publique[modifier | modifier le wikicode]
Généralement le Roi Francesco quitte très peu son palais, trop occupé à gérer les différentes affaires que l'on lui présente en tant que souverain.
Il a une très bonne réputation auprès de ses sujets, étant considéré par beaucoup comme un homme juste et bon, qui ne s'occupe pas que des affaires de cour et de diplomatie internationale, mais reçoit aussi bien les paysans inquiets et les marchands bafoués que les nobles Bellerandinois et les diplomates Ösmond.
Le Roi Charles est quelqu'un d'ambitieux, cherchant à diriger son territoire comme l'ont fait les souverains d'Ösmond. Cependant, la dolce vita des Bellerandinois ne colle pas avec l'esprit patriote d'une nation soudée et unie comme on peut en voir plus au Nord.
Le Roi tient à asseoir son autorité, que ça soit sur son peuple ou sur les diplomates étrangers, recevant les grands de ce monde dans une opulence des plus totales, afin de montrer la richesse de ses terres, et visitant souvent les autres cours afin d'évaluer leurs moyens.
Le Roi marque une réelle distinction entre la personne qu'il était dans sa jeunesse et celle qu'il est devenue une fois sacré. Il ne supporte pas de ne pas être appelé "Votre majesté" ou "Sire" à la rigueur, et punira sévèrement ceux qui oseront utiliser son ancien nom de "Charles-Honoré Mandelon".
Le Roi Charles est marié à la Reine Belle-Ambition, petite-fille de l'ancien Archevêque. Une jeune femme des plus belles du pays. Ensemble ils ont eu quatre enfants, Geoffroy, Aîné-Justinien, Blanche-Rose et Benjamin. La Reine a été élevée par son grand-père après la mort de ses parents tués par des bandits de grand chemins lors d'un voyage en campagne, et a donc grandi au cœur du jeu politique. Aujourd'hui on pourrait aisément dire qu'elle est la première Reine à réellement gouverner Bellerande, se faisant déléguer par son mari de plus en plus de pouvoir et de responsabilités.
On ignore qui du Roi ou de la Reine mène la danse, mais tous deux semblent avoir leurs projets personnels et agendas secrets, et on ne les voit plus beaucoup ensemble depuis la naissance de leur fils Benjamin.
Le Roi a excellente réputation auprès de son peuple, même si son pouvoir de monarque absolu se dilue entre celui détenu par l'Archevêque et celui délégué à la Reine, ce qui gêne certains traditionalistes, mais laisse également plus de temps au Roi Charles pour ses voyages à l'étranger et ses parties de chasse au monstre.
Exploits[modifier | modifier le wikicode]
Charles est le premier à réussir à traiter avec les Pirates Wellrisers, négociant la tranquillité de ses bateaux de commerces en échange d'un tribut annuel offert dans les cales d'un navire navigant sous pavillon Jamazarun.
Charles a défié l'Empereur Holggar Vikandhar Jörmungand en duel d'escrime afin de décider qui définirait les clauses d'un accord commercial. Bien qu'il ait perdu, on raconte que personne n'avait résisté aux assauts de l'Empereur aussi longtemps. Il fait d'ailleurs partie des meilleurs duellistes du monde, aux côtés de Rakosold Valdenar Ratastok, Willrelm Wallasz Azodred et Don Rodrigo de Salamerza.
Charles a vaincu de nombreux monstres lors de ses parties de chasse. On peut voir derrière son trône les trophées de certains, comme un dard de manticore ou des têtes de chimères.
Rumeurs[modifier | modifier le wikicode]
Comme de nombreux souverains Bellerandinois dans l'histoire, on sait que Charles de Géallaut a des aventures hors de son mariage. Là où certaines histoires s'arrêteraient à des fermières ou des dames de la cour, d'autres affirment qu'il entretiendrait une relation secrète avec une des princesses marchandes d'Al-Jamazar, avec un membre de la guilde des artificiers ösmond ou même avec l'Archevêque.
Certains pensent que Charles de Géallaut est en réalité un Ciannais ayant empoisonné le Roi Louis-Emmanuel afin de prendre sa succession et de servir en secret les intérêts de son pays aux dépens de Bellerande.